Maintenant que ça fait
plus d’un an que j’écris mon roman, j’ai mis en place plusieurs habitudes, et
notamment par rapport aux outils que j’utilise.
Traitement de texte
J’utilise notamment 4
supports d’écriture pour mon roman.
Tout d’abord, j’écris
grâce au logiciel Focus Writer. Il me permet de tenir mon objectif d’écrire
minimum 20 minutes par jour et de cacher ma barre des tâches (ce qui rend plus
difficile d’aller trainer sur Youtube). Je n’y affiche qu’un seul chapitre,
celui que je suis en train d’écrire. Je n’y ouvre pas le document où se trouve
mon roman entier pour trois raisons : déjà parce que j’ai peur qu’il y ait un
gros bug qui me fasse tout perdre, pour connaître facilement la longueur de mon
chapitre (grâce aux compteurs de mots) et parce que je me sens moins
oppressée de simplement voir mon chapitre et pas mes 200 pages écrites.
Ensuite, j’enregistre ce
que j’ai écris sur OpenOffice Writer (juste un traitement de texte gratuit).
C’est pour avoir tout mon roman dans le même document.
Puis, je copie-colle ces
nouveaux paragraphes écrits sur le site Scribbook. C’est simplement parce que
j’aime les statistiques que le site propose et qu’il me permet de voir
facilement combien de mots j’ai écrit dans la journée et le mois (et ça me fait
une sauvegarde en plus).
Enfin, de manière plutôt
hebdomadaire, j’enregistre mon roman sur Google Doc, pour avoir une sauvegarde
en ligne, à laquelle je peux accéder facilement sur mon téléphone si besoin.
Internet jamais loin
(mais sans distraction)
J’utilise
évidemment internet tout le long de mon écriture, pour les définitions, les
synonymes ou lorsque j’ai besoin de faire un tour sur Wikipédia.
Ma
petite astuce pour ne pas se perdre sur internet est d’utiliser deux
navigateurs. J’utilise Firefox pour mes loisirs, et Chrome lorsque je
travaille. Sur Chrome, je ne suis connectée sur aucun de mes réseaux sociaux,
ma barre de favori n’est constituée que de liens utiles pour l’écriture, entre
autre. Lorsque j’utilise Chrome, je sais que je n’y vais que parce que j’ai
besoin d’une information et je n’ai pas le réflexe d’aller regarder si je ne
rate rien sur facebook.
Mon plan avec moi
Au début, j’avais mon
plan sur mon téléphone, grâce à Google Doc.
Ensuite, je me suis mise
à écrire le résumé du chapitre en cours sur une feuille et je barrais les
éléments à chaque fois que je les avais écrits.
Et puis, j’ai eu une
liseuse et j’y ai mis mon plan en format PDF. Maintenant, j’ai ma liseuse à
côté de moi, allumée sur mon plan, et c’est une étape que j’apprécie dans mon
petit rituel d’écriture. Ouvrir mon plan sur ma liseuse, c’est le signal pour
mon cerveau d'enclencher son imagination. C’est quelque chose que je n’avais
pas avec mes deux premiers supports : mon téléphone pouvait vite devenir une source
de distraction et la feuille m’empêchait de démarrer immédiatement puisque je
devais recopier mon plan avant de commencer.
Petites notes
D’ailleurs, j’ai
toujours l’outil "bloc-notes" ouvert. J’y écris toutes les idées qui me
viennent pour modifier mon plan pendant la relecture.
S’il s’agit d’une idée
pour la suite, qui n’est pas encore écrite, je l’ajoute directement dans mon
plan.
J’adores les
statistiques !
Comme je l’ai dit plus
haut, j’utilise Scribbook uniquement pour l’option statistique du site.
Mais j’ai récemment
découvert l’application Writeometer, qui permet de définir ses objectifs
(nombre de mots pour terminer le roman, date à laquelle on veut le terminer,
nombre de mots qu’on veut écrire par jour) et de rentrer le nombre de mots
écrits dans la journée. Elle propose un chronomètre pour rester concentré
pendant l’écriture, et un système de récompense en fonction de ses objectifs.
Bref, en tant que fan des statistiques, j’adore cette application (et encore
plus quand elle me dit que j’ai juste à écrire 36 mots par jour pour terminer
mon objectif). C’est quelque chose qui me motive beaucoup.
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